Écrits d'Amour : Les Doigts Maîtres au XVIIIe Siècle
Dans l'âge où les corsages brodés s'enflamment,
Dans l'ère où les passions se tissent, homme ou femme,
Où l'amour, délicat, brûle comme un encens,
Se peint l'ardeur des cœurs, enflamme les sens,
Dans ces temps où le désir s'épanouit,
Les gestes secrets guident la nuit sans bruit.
Point n'est besoin de mots, juste une caresse,
Pour éveiller l'émoi, éteindre la détresse,
Au creux de la nuit, quand la lune se lève,
L'amant, tel un poète, à la douceur s'élève.
Ses doigts, tels des pinceaux, effleurent la peau,
Peignant des émois que jamais ne tarit l'eau,
Dans cette danse intime, où les sens s'embrasent,
Les doigts deviennent plume, et la chair, page rase.
Car au dix-huitième siècle, l'art de l'amour,
S'écrivait avec grâce, en chaque tendre contour,
Ainsi, l'organe est fort, mais les doigts sont maîtres,
Dans cette symphonie où les corps se pénètrent.
Dans l'étreinte enflammée d'une nuit sans fin,
L'amour se fait poème, et le désir, refrain.
Dans l'âge où les corsages brodés s'enflamment,
Dans l'ère où les passions se tissent, homme ou femme,
Où l'amour, délicat, brûle comme un encens,
Se peint l'ardeur des cœurs, enflamme les sens,
Dans ces temps où le désir s'épanouit,
Les gestes secrets guident la nuit sans bruit.
Point n'est besoin de mots, juste une caresse,
Pour éveiller l'émoi, éteindre la détresse,
Au creux de la nuit, quand la lune se lève,
L'amant, tel un poète, à la douceur s'élève.
Ses doigts, tels des pinceaux, effleurent la peau,
Peignant des émois que jamais ne tarit l'eau,
Dans cette danse intime, où les sens s'embrasent,
Les doigts deviennent plume, et la chair, page rase.
Car au dix-huitième siècle, l'art de l'amour,
S'écrivait avec grâce, en chaque tendre contour,
Ainsi, l'organe est fort, mais les doigts sont maîtres,
Dans cette symphonie où les corps se pénètrent.
Dans l'étreinte enflammée d'une nuit sans fin,
L'amour se fait poème, et le désir, refrain.
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