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Mère nature

wiliam59

Maître Poète
#1
Envie de partir et de lâcher tout.
Désirer aller là-bas, tout au bout.

O combien de fois y ai-je pensé ?
Mais me le suis-je au moins avoué ?

Je veux te suivre, reine des saisons.
Ne pas assister à ton oraison.

Avec mon plan, je crois que c’est gagné.
Enfin, je vais pouvoir t’accompagner.

J’attrape une feuille colorée.
Celles-là que tu sais bien faire danser.

Un emporté, valse exaltante.
Attrapée, la digité odorante.

Je pars vers ces pays, vers l’horizon.
Mon être est envahi, que de frissons.

L’automne me berce sans aucun bruit.
Oui, je sens la caresse de l’infini.

Adieu, villes de béton, de fer.
Je vais maintenant rejoindre ma mère.

Nature, tu es vraiment sans artifices.
Tu donnes aux hommes l’envie d’avoir un fils.
 

wiliam59

Maître Poète
#2
Envie de partir et de lâcher tout.
Désirer aller là-bas, tout au bout.

O combien de fois y ai-je pensé ?
Mais me le suis-je au moins avoué ?

Je veux te suivre, reine des saisons.
Ne pas assister à ton oraison.

Avec mon plan, je crois que c’est gagné.
Enfin, je vais pouvoir t’accompagner.

J’attrape une feuille colorée.
Celles-là que tu sais bien faire danser.

Un emporté, valse exaltante.
Attrapée, la digité odorante.

Je pars vers ces pays, vers l’horizon.
Mon être est envahi, que de frissons.

L’automne me berce sans aucun bruit.
Oui, je sens la caresse de l’infini.

Adieu, villes de béton, de fer.
Je vais maintenant rejoindre ma mère.

Nature, tu es vraiment sans artifices.
Tu donnes aux hommes l’envie d’avoir un fils.
Grand Merci à vous...
 

wiliam59

Maître Poète
#3
Envie de partir et de lâcher tout.
Désirer aller là-bas, tout au bout.

O combien de fois y ai-je pensé ?
Mais me le suis-je au moins avoué ?

Je veux te suivre, reine des saisons.
Ne pas assister à ton oraison.

Avec mon plan, je crois que c’est gagné.
Enfin, je vais pouvoir t’accompagner.

J’attrape une feuille colorée.
Celles-là que tu sais bien faire danser.

Un emporté, valse exaltante.
Attrapée, la digité odorante.

Je pars vers ces pays, vers l’horizon.
Mon être est envahi, que de frissons.

L’automne me berce sans aucun bruit.
Oui, je sens la caresse de l’infini.

Adieu, villes de béton, de fer.
Je vais maintenant rejoindre ma mère.

Nature, tu es vraiment sans artifices.
Tu donnes aux hommes l’envie d’avoir un fils.
Merci...
 

agrego

Maître Poète
#4
oui je vois que tu as de quoi......remercier???

pour un si beau texte....ils ne sont guère généreux!!

Mais peut-être que le partage n'est pas là??

Bonne nuit


Agrégo